PARUTION : Le volume 12 des Cahiers Georges Perec - Espèces d’espaces perecquiens

lundi 6 juillet 2015

Danielle Constantin, Jean-Luc Joly et Christelle Reggiani (dir.), Cahiers Georges Perec, vol. 12, Espèces d’espaces perecquiens, Bordeaux, Le Castor astral, 2015.

Georges Perec s’impose aujourd’hui de plus en plus comme un « contemporain capital », pour reprendre le mot de Malraux à propos de Gide. « Contemporain capital posthume », dans la mesure où la fortune de son oeuvre n’a cessé de croître depuis sa mort prématurée, en 1982. À la suite des numéros 9 (Le Cinématographe), 10 (Perec et l’art contemporain) et 11 (Filiations perecquiennes), qui avaient permis de mesurer le rapport de Perec à diverses pratiques extra-scripturales (cinéma, arts plastiques, musique) ou sa résonance dans l’art et la littérature d’aujourd’hui, le numéro 12 des Cahiers Georges Perec souhaite interroger la fécondité du travail perecquien sur l’espace et la manière dont il innerve actuellement certaines parts de ce que l’on pourrait appeler les sciences et arts de l’espace (géométrie, topologie, géographie, cartographie, architecture, urbanisme, arts de la ville, typographie…) ou y trouve écho.
Les spécialistes de l’oeuvre de Georges Perec : Alberto BEJARANO, Morgane CADIEU, Danielle CONSTANTIN, Laurence CORBEL, Vincen CORNU, Isabelle DANGY, Florence de CHALONGE, Maxime DECOUT, Raoul DELEMAZURE, Maxime FOISSEAU, Carlos G. GIMENEZ, Éléonore HAMAIDE-JAGER, Jean-Luc JOLY, Mireille KINTZ, Marta MIRAS, Guillemette MOREL JOURNEL, Mireille RIBIERE, Anne ROCHE, Annelies SCHULTE NORDHOLT, Virginie TAHAR, Julio VALENTINO, Julie ZAMORANO. Les écrivains : Michèle AUDIN, Michel BUTOR, Jacques ROUBAUD, Georges PEREC. Un plasticien : Daniel de PAULA. Les étudiants du département d’Arts visuels de la faculté des arts de l’université de Strasbourg ; de l’École nationale supérieure d’architecture de Paris-la-Villette.